Ils (les mots) nous empêchent d’aller jusqu’à l’extrémité de l’effacement de l’être, jusqu’à l’obscurité de notre être se dissolvant dans la nuit.”
– Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie (p.125)
Ils (les mots) nous empêchent d’aller jusqu’à l’extrémité de l’effacement de l’être, jusqu’à l’obscurité de notre être se dissolvant dans la nuit.”
– Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie (p.125)