Month: October 2018

  • Observer les étoiles

    Hier soir (la Nuit des ténèbres), lors de mes explorations nocturnes à Halle et dans les environs, j’ai rencontré un groupe d’observateurs d’étoiles avec leurs impressionnants télescopes. J’ai pu converser avec eux et j’ai appris un certain nombre de choses : les étoiles en duo, les amas d’étoiles (les Pléiades étaient clairement visibles), comment photographier les étoiles avec des télescopes spécialement contrôlés par ordinateur qui suivent la rotation de la terre, les temps d’exposition qui sont étalés sur plusieurs nuits (parfois avec un temps total de deux heures), comment obtenir autant de photons que possible sur la plaque sensible, la distance focale d’un tel télescope est déterminée, etc… J’ai également pu voir la surface de la lune comme jamais auparavant.

    Toutes des choses fascinantes.

    Enfin, j’ai fait moi-même un certain nombre d’enregistrements. Ci-dessous se trouve un petit fragment du ciel nocturne avec les Pléiades en bas à gauche et…. un avion qui glisse lentement…

    Le (terrible) bruit que l’on entend est celui du périphérique adjacent…. Rien à rêver.

  • Partout et nulle part

    Ce matin, j’ai quitté ma maison à 5h45 et 100m plus loin j’ai fait quelques enregistrements dans les champs. C’était plutôt brumeux. Alors, j’étais littéralement nulle part. Ces lieux (et les images) peuvent maintenant venir de n’importe où.

    Un sentiment étrange.

    La nuit efface l’emplacement exact. L’unicité des lieux qu’ils ont pendant la journée. La nuit, vous pouvez littéralement vous perdre dans un endroit familier.

  • En route

    En route pour redécouvrir le monde.

  • Rayon d’action

    Voilà. Mon rayon d’action. Littéralement dix kilomètres autour de ma maison.

    Je ne savais pas que je vivais si près de Waterloo. Le château de Gaasbeek se trouve également juste à l’intérieur du cercle. Un endroit mystérieux et agréable. Près de la moitié de la superficie est déjà le Brabant Wallon, ce qui n’est pas surprenant, puisque je vis à deux kilomètres de la “frontière linguistique”.

  • Alternances

    Peindre la nuit, c’est montrer que le monde ne chavire pas à chaque crépuscule mais qu’il se métamorphose. Là où l’on voit moins bien, on voit différemment : hors de la protection imposante du soleil, couleurs et formes prennent une allure inattendue. Il y a beaucoup à apprendre et à percevoir de ces alternances.

    Michael Foessel, “Peindre la nuit” p.15

  • Inspiration

    Un beau cadeau de mon épouse ! L’exposition n’a pas encore commencé. A Metz, jusqu’en avril 2019.

  • Vidéos d’essai nocturnes

    Juste quelques vidéo d’essai de plus faites avec mon smartphone. Ce n’est pas idéal, mais de cette façon, je me souviens mieux des endroits où je devrai retourner.

    L’intention est de rester à moins de 10 km de chez moi.

    Même si Bruxelles, dans le lointain, m’attire 😉. C’est déjà 17km….

  • La nuit japonaise

    Le pont Makura, la rivière Sumida la nuit – Shôtei, Takahashi’Hiroaki’ 1923.

    Japonais, 1871-1945 – Gravure sur bois

    La vie nocturne. Au Japon. Début du 20e siècle.

    (trouvé via huariqueje)

  • On voit mieux la nuit

    Ou du moins différemment. Dans notre pays, il y a de la lumière partout la nuit. Il faut déjà aller loin pour obtenir un véritable endroit obscur.

    Avec toute cette lumière, vous voyez les choses et l’environnement que vous connaissez d’une manière différente et découvrez parfois des scènes surprenantes.

    Récemment, je suis passé devant le jardin de mon quartier, que je pensais bien connaître. L’éclairage brillant du jardin qui s’est allumé m’a fait remarquer seulement maintenant qu’un des grands pins était complètement incliné. Ce que je n’avais jamais vu en plein jour.

  • Une trouvaille

    Une trouvaille. Une pièce jointe. Comme l’insécurité nous ensorcelle.